Pour que nos plantes médicinales puissent vous offrir le meilleur de leurs bienfaits, nos équipes s’engagent chaque jour auprès de celles et ceux qui les connaissent, les respectent et les préservent mieux que quiconque.
Grâce à leur savoir-faire, nous restituons la totalité des actifs des plantes médicinales afin de vous faire bénéficier de tout leur potentiel pour votre santé.

Découvrez le portrait de notre héro : Gero Diekmann & Frans

Gero Diekmann Un homme passionné par la « Griffe du Diable »

Gero Diekmann, né en Namibie, est tombé sous le charme de l’Harpagophytum en 2004, en découvrant de nombreux « trous à ciel ouvert et en échangeant avec les locaux sur la récolte de la plante ».

Depuis, il encadre les cueilleurs de la tribu des « San », leur permettant d’accéder à un revenu décent.

L’Harpagophytum est un défi pour lui : celui d’accompagner les populations locales pour une exploitation durable des ressources, tout en contribuant à établir des normes de récolte.

« Je suis convaincu que cette plante appelée Griffe du Diable est en fait une bénédiction pour la Namibie, et je suis fier de lui dédier ma vie. » G. Diekmann.

Gero est aussi très engagé pour la sauvegarde des espèces, aussi bien végétales qu’animales, en luttant notamment contre le braconnage qui gangrène le pays.

Gero Diekmann, un homme passionné par la griffe du diable

La « tribu » des San

Aussi appelés Bushmen, ils font partie des tribus africaines ancestrales et sont les premiers habitants de la Namibie.

Réputés pour être d’excellents chasseurs mais aussi de fins cueilleurs, ils sont experts pour débusquer les plantes médicinales et peuvent facilement distinguer une plante d'une autre grâce à leurs connaissances et expérience.

« Cela fait plus de 15 ans que j’ai découvert l’Harpagophytum. J’en ai fait un défi personnel : celui de créer une source durable de revenus décents pour les cueilleurs namibiens. Ce sont mes amis, mes frères. » G. Diekmann.

La tribu des "San"

L’Harpagophytum ou « Griffe du Diable » : Le trésor végétal namibien

La récolte de l’Harpagophytum n’est pas une pratique aisée : la plante ne peut être cultivée et la racine n’est pas facilement accessible. La plupart du temps, les récoltants se déplacent en groupe car il est parfois nécessaire de camper sur le lieu de récolte du fait de l’éloignement. Une fois sur la zone de récolte, le récolteur doit marcher sur plusieurs kilomètres pour identifier les traces de la plante, comme les feuilles, la tige ou les graines.

Après avoir trouvé la plante, le récolteur doit extraire le tubercule en creusant autour de la plante, parfois jusqu’à 1 mètre, pour trouver les tubercules secondaires. Pour ce faire, il utilise des piques ou bâtons fouisseurs traditionnels. Le tubercule principal est fragile et ne doit en aucun cas être endommagé pendant la récolte. Dans de nombreux cas, le récolteur ne cueillera que sur un seul côté de la plante pour préserver l’espèce.

Les effets de l’Harpagophytum sur les douleurs articulaires sont universellement reconnus.
Il a été démontré que l'utilisation de cette plante améliorait de façon significative le confort articulaire. Ces racines fraîches tubérisées, qui constituent la plante, sont les parties les plus riches en actifs.

La Namibie : Berceau de l’Harpagophytum

Paradis de la faune et de la flore sauvage, la Namibie est l’un des pays majeurs de l’Afrique Australe et l’un des plus respectueux de l'environnement, avec plus de 18 % du territoire déclarés « zone protégée ».

La récolte de l’Harpagophytum en Namibie est très règlementée : une charte et des quotas ont été mis en place pour assurer la pérennité de l'espèce. Une zone « sanctuaire » a également été confiée aux populations locales chargées de respecter des techniques de cueillette raisonnées et durables destinées à la préservation et au renouvellement de la plante.

La Namibie : Berceau de l'Harpagophytum

La Namibie est le biotope naturel de l’Harpagophytum, elle ne pousse que dans les déserts arides du Kalahari. La superficie des zones de collecte est d’environ 4 millions d’hectares. Sa récolte est assurée essentiellement par une vingtaine de groupements composés de 4 à 5 000 récolteurs, et répartis sur tout le territoire.

L’Harpagophytum BIO : Un cahier des charges strict

Pour offrir une qualité optimale, nous avons opté pour la culture BIO.
Les tubercules récoltés sont nettoyés puis coupés en fines tranches et placés sur un filet au soleil installé à environ 1 m du sol pour que l’air circule et facilite le séchage. La racine est complètement sèche après 3 à 5 jours sur le filet.

Le maintien de l’intégrité des constituants tels qu’ils existent dans la plante fraîche ne peut être obtenu que par la mise en place d’un séchage approprié et rapide. De cette façon, on stoppe l'activité enzymatique de la plante qui, à terme, détruit les actifs de la plante. C’est donc une étape déterminante.

Récolte manuelle

Récolte manuelle

Collecte durable

Collecte durable

Séchage à l'air libre

Séchage à l'air libre

Sans produits chimiques

Sans produits chimiques

Sans pesticides

Sans pesticides

Sans OGM

Sans OGM

Plante médicinale BIO

Plante médicinale BIO

100% des actifs restitués

100% des actifs restitués